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Le van électrique d'Arrival sort des chaînes de sa « mini usine »
Dans la longue liste des véhicules zéro émission qu'elle entend produire, camion, bus et même une voiture, la société Arrival, au Royaume-Uni, vient de sortir son premier van électrique, un proto, cependant... En 2021, le géant de la messagerie UPS en a commandé 10 000 unités. Le véhicule est fabriqué dans ce que le PDG d'Arrival qualifie de « mini usine » : « Le véhicule est entièrement produit par nos équipes, il en ira de même pour le camion, le bus et la voiture ». Cela dit, dans un courrier envoyé à la presse économique, le PDG d'origine russe et résidant en Grande-Bretagne, Denis Sverdlov, a prévenu que les premiers vans allaient être testés pendant un certain temps : « La route est encore longue, les premiers vans seront uniquement destinés à des tests maison et chez nos clients, écrit-il, nous avons démarré en 2015, investit 1,6 milliard de dollars, mais nous devrions avoir dépassé nos objectifs, ce qui n'a pas été le cas en raison de l'impact de la pandémie, de la guerre, et de la pénurie de semi-conducteurs... ». Le PDG ne se décourage pas, si Arrival a annoncé une « pause » dans la fabrication de ses camions et bus, la société entend poursuivre ses projets. - FG
Dans la longue liste des véhicules zéro émission qu'elle entend produire, camion, bus et même une voiture, la société Arrival, au Royaume-Uni, vient de sortir son premier van électrique, un proto, cependant... En 2021, le géant de la messagerie UPS en a commandé 10 000 unités. Le véhicule est fabriqué dans ce que le PDG d'Arrival qualifie de « mini usine » : « Le véhicule est entièrement produit par nos équipes, il en ira de même pour le camion, le bus et la voiture ». Cela dit, dans un courrier envoyé à la presse économique, le PDG d'origine russe et résidant en Grande-Bretagne, Denis Sverdlov, a prévenu que les premiers vans allaient être testés pendant un certain temps : « La route est encore longue, les premiers vans seront uniquement destinés à des tests maison et chez nos clients, écrit-il, nous avons démarré en 2015, investit 1,6 milliard de dollars, mais nous devrions avoir dépassé nos objectifs, ce qui n'a pas été le cas en raison de l'impact de la pandémie, de la guerre, et de la pénurie de semi-conducteurs... ». Le PDG ne se décourage pas, si Arrival a annoncé une « pause » dans la fabrication de ses camions et bus, la société entend poursuivre ses projets. - FG
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