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Aide à l'achat de PL électriques : un nouvel appel s'ouvre le 21 août
Le Cofit, auquel participe la Fédération française de carrosserie (FFC), ouvre le 24 août un nouvel appel à projets (jusqu'au 7 octobre 2024) pour aider au financement des véhicules électriques lourds.
Après un premier volet dédié aux PME, i...
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Le Cofit, auquel participe la Fédération française de carrosserie (FFC), ouvre le 24 août un nouvel appel à projets (jusqu'au 7 octobre 2024) pour aider au financement des véhicules électriques lourds.
Après un premier volet dédié aux PME, il concerne l'ensemble des entreprises, acquéreurs ou locataires de longue durée de véhicules neufs et commanditaires d'opérations de rétrofit électrique.
Le cahier des charges de cet appel à projet vient d'être mis en ligne sur le site de l'Ademe. Pour le consulter, cliquez ici.
A ne pas confondre avec l'enveloppe de 20 millions d'euros ouverte jusqu'au 19 août qui offre jusqu'à 90 000 euros d'aide pour l'achat ou le rétrofit d'un tracteur électrique (voir 61967). - MF
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HRS remporte le prix international de France Hydrogène
HRS, concepteur et fabricant français, leader européen des stations de ravitaillement en hydrogène, remporte le prix international pour le déploiement de l'offre de stations HRS à l'international par France Hydrogène. Cette catégorie de prix a été dé...
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HRS, concepteur et fabricant français, leader européen des stations de ravitaillement en hydrogène, remporte le prix international pour le déploiement de l'offre de stations HRS à l'international par France Hydrogène. Cette catégorie de prix a été décernée pour la première fois cette année, et HRS devient ainsi la première entreprise à remporter cette distinction. HRS est l'un des leaders mondiaux des stations de ravitaillement en hydrogène de grande capacité. HRS propose une gamme complète et unique de stations modulaires et évolutives, allant de 200 kg/jour jusqu'à 4 tonnes/jour. HRS dispose aujourd'hui d'un parc installé de stations de grande capacité parmi les plus importants du marché avec 18 stations de 200 kg/jour. Toutes les bornes des stations sont bi-pression et équipées de pistolets 350 bars, 350 HF, et 700 bars, répondant ainsi à l'ensemble des usages de la mobilité hydrogène.
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Nouvelle station hydrogène à Vénissieux
HYmpulsion va inaugurer sa station hydrogène de Vénissieux. La station de Vénissieux est la cinquième d'HYmpulsion et la deuxième sur le territoire de la Métropole de Lyon. Représentant un investissement total de 2,5 millions d'euros, la station est ...
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HYmpulsion va inaugurer sa station hydrogène de Vénissieux. La station de Vénissieux est la cinquième d'HYmpulsion et la deuxième sur le territoire de la Métropole de Lyon. Représentant un investissement total de 2,5 millions d'euros, la station est financée en partie par l'Ademe et la Commission européenne, dans le cadre du projet Zero Emission Valley porté par la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Au total, HYmpulsion prévoit le déploiement de plus de 15 stations hydrogène.
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GCK rétrofitera 50 autocars hydrogène pour la région Auvergne-Rhône-Alpes
Poursuivant l'objectif de faire d'Auvergne Rhône-Alpes le premier territoire à hydrogène de France et leader de la mobilité hydrogène en Europe, Laurent Wauquiez, président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes a présenté, aux côtés d'Éric Boudot, présid...
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Poursuivant l'objectif de faire d'Auvergne Rhône-Alpes le premier territoire à hydrogène de France et leader de la mobilité hydrogène en Europe, Laurent Wauquiez, président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes a présenté, aux côtés d'Éric Boudot, président de GCK, les nouveaux cars à hydrogène de la Région. La commande porte sur 50 cars rétrofités hydrogène pour 2026, dont 16 livrés dès cette année. Ils seront dédiés aux transports scolaires et interurbains. Il s'agit d'une première européenne ce qui représente un investissement régional de 25 MEuros (8,5 MEuros pour les 16 premiers cars), sur les 135 MEuros consacrés aux mobilités hydrogène par la Région à l'horizon 2026. Les 16 premiers cars seront affectés à la desserte des de lignes Saint-Jean-de-Bournay-Vénissieux, Saint-Marcellin-Grenoble, Valserhône-Annecy et Annonay-Lyon. Ces autocars seront transformés dans les ateliers de GCK Mobility à Cournon (Puy-de-Dôme). La transformation consiste à remplacer la motorisation thermique existante des autocars Iveco Crossway par une pile à combustible hydrogène alimentant un moteur électrique. Cette annonce d'ampleur fait suite à la validation de tous les tests d'homologation de l'UTAC pour un autocar rétrofité par GCK Mobility. La remise officielle de la certification devrait être annoncée prochainement. Il s'agira d'une 1ère historique pour ce type de véhicule qui pourra donc être produit en série. L'attribution de ce marché et l'homologation permettent à GCK de basculer totalement dans l'industrialisation intensive de son activité. On se rappellera que le proto avait été présenté au dernier salon Autocar Expo de Lyon en 2022.
Photos Gilbert
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L'usine de méthane de la métropole de Lyon pourra alimenter jusqu'à 300 bus
La métropole de Lyon investira 80 millions d'euros dans un méthaniseur sur la station d'épuration de Pierre-Bénite (Rhône). Il fournira 77 GWh de biométhane à l'horizon 2029. Ce qui fait dire à Iveco Bus que l'usine sera en capacité d'alimenter jusqu...
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La métropole de Lyon investira 80 millions d'euros dans un méthaniseur sur la station d'épuration de Pierre-Bénite (Rhône). Il fournira 77 GWh de biométhane à l'horizon 2029. Ce qui fait dire à Iveco Bus que l'usine sera en capacité d'alimenter jusqu'à 300 bus ou BOM. Le constructeur contribue en effet à la décarbonation de l'énergie et des transports en fournissant des bus GNV au Sytral Mobilités.
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La Région Grand Est et l'entreprise Stations-e annoncent
le déploiement de 1 000 Stations-e multiservices connectées
dans la région
Lors du salon des Maires et des Collectivités Locales, le 22 novembre à Paris, la région Grand Est et la société Stations-e ont signé une déclaration pour soutenir le déploiement de 1 000 Stations-e multiservices connectées. Dans la première phase in...
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Lors du salon des Maires et des Collectivités Locales, le 22 novembre à Paris, la région Grand Est et la société Stations-e ont signé une déclaration pour soutenir le déploiement de 1 000 Stations-e multiservices connectées. Dans la première phase initiée lors du Business Act Grand Est en septembre 2020, Stations-e a prévu le déploiement de 150 stations de bornes de recharge pour véhicules électriques. A ce jour, 80 stations sont en fonctionnement ou en cours d'installation, ce qui représente 160 places (points de charge) pour recharger son véhicule. Aujourd'hui, la Région Grand Est soutient Stations-e pour déployer encore plus de stations : jusqu'à 1 000 bornes Stations-e, soit 2 000 points de charge ouverts sur des parkings publics ou des terrains privés avant 2030. Ce développement s'est concrétisé hier à l'occasion de l'inauguration des Stations-e de la ville de Richemont.
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Symbio inaugure son site de production de piles à combustible, la Gigafactorie SymphonHy
Symbio a inauguré à Saint-Fons, en Région Auvergne-Rhône-Alpes, sa première Gigafactorie SymphonHy, le plus grand site européen intégré pour la production de piles à combustible hydrogène, soutenant le déploiement d'une mobilité durable et performan...
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Symbio a inauguré à Saint-Fons, en Région Auvergne-Rhône-Alpes, sa première Gigafactorie SymphonHy, le plus grand site européen intégré pour la production de piles à combustible hydrogène, soutenant le déploiement d'une mobilité durable et performante. Le site héberge le siège social du groupe, la production, un centre d'innovation d'une dimension inégalée, ainsi que la Symbio Hydrogen Academy. A la pointe de la technologie, SymphonHy bénéficie d'une forte automatisation et a recours à la robotique, lesquelles soutiennent une production à grande échelle industrielle à un coût plus compétitif. Ces développements sont clés pour l'avenir : accélérer la montée en puissance d'une mobilité hydrogène, propre, compétitive et performante, contribuant ainsi à la transition énergétique et aux ambitions françaises et européennes de décarbonation de la société. Avec les piles à combustible Symbio, Stellantis continuera d'étendre son offre hydrogène avec des fourgonnettes de grande taille, les pickups de sa marque Ram et des véhicules de plus grande dimension pour le marché nord-américain, au-delà de sa gamme de véhicules utilitaires de taille moyenne déjà disponibles en Europe. Rappelons que Symbio est une co-entreprise détenue à parts égales par Forvia, Michelin et Stellantis.
SymphonHy en chiffres : une capacité de production de 16 000 systèmes actuellement, 50 000 dès 2026, 26 000 m2 de construction à présent, 40 000 m2 à terme, 7 000 m2 consacrés à l'innovation, 8 000 m2 de salles blanches labellisées ISO8, plus de 450 ingénieurs, dont 100 dédiés à l'innovation et couvrant un riche éventail de disciplines (électrochimie, chimie, matériaux ...), réunis dans un même centre d'innovation de classe mondiale.
Photo Symbio
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Photo Symbio
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L'AFGNV devient France Mobilité Biogaz
L'AFGNV (Association Française du Gaz Naturel Véhicules) fait peau neuve en adoptant un nouveau nom qui reflète mieux ses orientations stratégiques actuelles : France Mobilité Biogaz. Aujourd'hui, il ne s'agit plus d'installer la technologie du gaz c...
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L'AFGNV (Association Française du Gaz Naturel Véhicules) fait peau neuve en adoptant un nouveau nom qui reflète mieux ses orientations stratégiques actuelles : France Mobilité Biogaz. Aujourd'hui, il ne s'agit plus d'installer la technologie du gaz carburant, du « GNV », dans le transport routier français : l'écosystème de la filière est en place - véhicules, réseau de stations, volumes. L'horizon de la filière consiste désormais, tout en poursuivant son développement, à basculer rapidement, avant 10 ans, vers 100% de biométhane, et à offrir ainsi un carburant au pouvoir de décarbonation comparable à celui de l'électricité d'origine française. Alors que l'acronyme « AFGNV » était peu connu du grand public, le nom France Mobilité Biogaz explicite l'objet et le périmètre de l'Association. Celle-ci se dote par la même occasion d'une signature qui énonce la valeur « climatique » du BioGNV en tant que solution énergétique appliquée au transport, en priorité routier : "La décarbonation en route." « En route » est cependant à prendre ici plus largement dans son sens métaphorique de chemin, trajet, car nos champs de mobilité n'excluent a priori ni le fluvial, ni le ferroviaire. En ordre de marche pour décarboner la mobilité, le biométhane utilisé comme BioGNV annonce désormais la couleur ! Cette revendication sonne comme une mobilisation à l'heure où la faible prise en compte des énergies renouvelables par les décideurs politiques européens risque d'empêcher le BioGNV de jouer tout le rôle auquel il peut légitimement prétendre dans la décarbonation des transports. La modernisation de l'Association et de sa stratégie s'expriment aussi dans son nouveau logo plus épuré, plus vert. Sa forme elliptique adoucie évoque à la fois une roue qui avance et la circularité du carbone émis à la combustion, capté par les plantes et réutilisé lors de la production du biométhane. Nous avons à défendre une filière vertueuse mais aussi trop peu connue et menacée, commente Erwan Cotard, le président de France Mobilité Biogaz. Notre nouvelle identité de marque clame que notre énergie sera une brique nécessaire du futur mix décarboné de la mobilité, avec l'électricité, les carburants liquides bas carbone et l'hydrogène. »
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Le Conseil européen entérine l'accord encadrant les émissions de CO2 pour les poids lourds – Les autobus seront zéro émission à partir de 2035
Le Conseil européen a trouvé un accord sur des règles rendant plus sévère l'encadrement des émissions de CO2 pour les poids lourds. Selon leur catégorie, les véhicules devront répondre à des règles de réduction d'émissions à partir de 2030, puis 2035...
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Le Conseil européen a trouvé un accord sur des règles rendant plus sévère l'encadrement des émissions de CO2 pour les poids lourds. Selon leur catégorie, les véhicules devront répondre à des règles de réduction d'émissions à partir de 2030, puis 2035 et 2040. Le Conseil estime que de cette façon, le parc des zéro émission pourra augmenter à travers l'Europe. Cette « approche générale » de l'avis du Conseil sera ensuite transmise au parlement européen qui devra l'inscrire dans une loi. Les ministres de la Transition énergétique des 27 ont proposé une dérogation CO2 pour l'ensemble des véhicules de service (camions militaire, anti-incendie, ambulances, BOM...). Cependant, plus généralement, le Conseil a décidé de maintenir la proposition de la Commission européenne de réduire les émissions de CO2 de 15 % à partir de 2025, taux qui s'ajoute ainsi aux objectifs à venir : soit -45 % d'émissions à partir de 2030, -65 % cinq ans plus tard et -90 % dès 2040. En ce qui concerne les véhicules de transport de personnes, seuls les bus seront zéro émission (à 100 %) à partir de 2035, avec un niveau intermédiaire de -85 % en 2030. Les autobus et autocars réalisant des transports interurbains seront exemptés de ces objectifs. Une réunion d'étape est prévue en 2027 afin de faire le point sur le déploiement des infrastructures de recharge en énergies alternatives notamment.
Photo CE / X D.R.
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Photo CE / X D.R.
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Euro 7 : les prix des véhicules grimperont en flèche
Selon une étude récente analysée par l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA), du fait d'Euro 7, les prix des véhicules seront 4 à 10 fois plus élevés que les estimations annoncées par la Commission européenne. Frontier Economic...
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Selon une étude récente analysée par l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA), du fait d'Euro 7, les prix des véhicules seront 4 à 10 fois plus élevés que les estimations annoncées par la Commission européenne. Frontier Economics estime que le prix des camions et des autocars augmentera de 12 000 Euros, alors que les estimations de la CE ne seraient que de seulement +2 800 Euros. Les hausses sont dues aux pièces et aux investissements nécessaires pour atteindre une norme antipollution « la plus sévère jamais atteinte » estiment les constructeurs qui n'y voient que des contraintes techniques. Sigrid de Vries, directrice générale de l'ACEA, plaide pour une transition par l'électrification comme bon nombre de hauts responsables de constructeurs de véhicules industriels (voir 59721).
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Huiles usagées - Les biocarburants ont la frite en Charente-Maritime
Dans le sillage du Sénat, qui a décidé en novembre de la production de biocarburants à partir d'huiles usagées, deux acteurs de Charente-Maritime, dont le groupe Picoty, veulent investir dans ce dispositif réservé jusqu'à présent aux flottes de colle...
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Dans le sillage du Sénat, qui a décidé en novembre de la production de biocarburants à partir d'huiles usagées, deux acteurs de Charente-Maritime, dont le groupe Picoty, veulent investir dans ce dispositif réservé jusqu'à présent aux flottes de collectivités et d'entreprises. En effet, l'expérimentation repose sur un vote au Sénat qui autorise l'utilisation du biocarburant produit à partir d'huiles usagées aux seules « flottes captives », c'est-à-dire les flottes de collectivités et les flottes d'entreprises. Deux acteurs régionaux de Charente-Maritime ont cependant décidé de s'y lancer. L'association « Roule ma frite 17 » et Picoty, distributeur de carburants implanté dans une grande partie de l'Hexagone, viennent de s'associer dans la collecte et la revalorisation des huiles alimentaires usagées (HAU). En tant que groupe pétrolier Picoty rachètera les huiles usagées collectées auprès des restaurateurs du département par l'association. La transformation - ou estérification - de l'huile sera assurée par une filiale de Veolia en Ile-de-France. La direction du site rochelais de Picoty table ainsi sur une collecte d'environ 100 tonnes cette année et de 500 tonnes d'ici à trois ans. A noter que le taux d'efficience de ce procédé de recyclage est très élevé, dix litres d'huiles usagées correctement retraitées permettant de produire huit litres de carburant. Un carburant qui produit, par ailleurs, les émissions de gaz à effet de serre les plus faibles parmi tous les biocarburants, selon l'Union européenne.
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Point de vue - Clap de fin ou pas pour le moteur thermique après 2035 ?
Les constructeurs de véhicules industriels et motoristes surveilleront de près la réunion prévue le 28 mars à Bruxelles qui devrait acter la fin du moteur thermique en 2035. Mais pas tout à fait : l'Allemagne va voter pour la fin de la production de ...
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Les constructeurs de véhicules industriels et motoristes surveilleront de près la réunion prévue le 28 mars à Bruxelles qui devrait acter la fin du moteur thermique en 2035. Mais pas tout à fait : l'Allemagne va voter pour la fin de la production de voitures émettrices de CO₂ après cette date, puis un nouveau texte sera élaboré pour permettre l'immatriculation de véhicules roulant aux carburants de synthèse. A ce propos, que sait-on de ces carburants que des ONG critiquent tant, et qui estiment que les vertus environnementales comme la disponibilité sont problématiques et le coût très élevé ? L'IFP Énergies nouvelles (IFPEN), successeur de l'Institut français du pétrole (IFP) a publié un article sur le sujet intitulé Tout savoir sur les carburants de synthèse (e-fuels) datant du 21 mars. La présentation, très complète, permet de mieux se familiariser sur le futur e-gazole. - FG
Source IFP Energies nouvelles.
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Source IFP Energies nouvelles.
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Daher installe une cuve à biocarburant Pur-XTL sur son site de Toulouse
Sur son site de Cornebarrieu (près de Toulouse), les camions de Daher vont pouvoir faire le plein de biocarburant Pur-XTL produit par Altens à partir de déchets (huiles ou graisses résiduelles), qui permet de réduire jusqu'à 90% les émissions de CO2 ...
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Sur son site de Cornebarrieu (près de Toulouse), les camions de Daher vont pouvoir faire le plein de biocarburant Pur-XTL produit par Altens à partir de déchets (huiles ou graisses résiduelles), qui permet de réduire jusqu'à 90% les émissions de CO2 des véhicules. Le biocarburant n'étant pas disponible à la pompe, Daher a fait installer une cuve de 30 000 l. Cet investissement initial d'un montant de 50 000 euros s'accompagne d'un surcoût de 10% par rapport aux carburants conventionnels...
Le trajet Toulouse-Hambourg sur lequel Daher opère le transport de moteurs et de pièces aéronautiques à destination des sites de production Airbus représente à lui seul 60% des 3,5 millions de kilomètres réalisés chaque année par sa flotte de camions. Avec une seconde cuve sur le site de Roissy en 2024, une route 100% biocarburant pourra être assurée à terme entre Toulouse, Roissy et Hambourg, où des stations-services publiques proposeront du biocarburant dès cette année à la pompe. - MF
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La carte AS 24 acceptée dans les stations GNL de Proviridis
Filiale de TotalEnergies, AS 24 étend la portée de sa carte carburant en intégrant six stations du réseau V-Gas de Proviridis, annonce gaz-mobilité.fr. Déjà acceptée dans les stations du groupe TotalEnergies, la carte AS 24 s'étend à des opérateurs t...
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Filiale de TotalEnergies, AS 24 étend la portée de sa carte carburant en intégrant six stations du réseau V-Gas de Proviridis, annonce gaz-mobilité.fr. Déjà acceptée dans les stations du groupe TotalEnergies, la carte AS 24 s'étend à des opérateurs tiers. Ce lundi 6 février, l'enseigne a officialisé un premier accord pour que sa carte soit acceptée sur les stations GNL du réseau V-Gas, opéré par Proviridis.
Sur la quinzaine de stations actuellement exploitée par Proviridis dans l'Hexagone , six sont concernées :
• Fos-Sur Mer (13)
• Saint-Quentin-Fallavier (38)
• Saint-Martin de Crau (13)
• Plan d'Orgon (13)
• Dourges (62)
• Fragnes-La Loyère / Chalon-sur-Saône (71)
“La carte AS 24 donne actuellement accès à un réseau de 50 stations GNC et 57 stations GNL en Europe” souligne AS 24 qui évoque un “plan de développement en cours” pour que la carte soit acceptée dans 85 stations GNC et une centaine de stations GNL d'ici à fin 2023.
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MAN et Volvo soutiennent Esterifrance
A la demande de la rédaction d'Autocar & Bus Infos, MAN et Volvo ont réagi à l'annonce par la Conseil d'Etat d'annuler l'arrêté B100... Volvo a relayé le communiqué d'Esterifrance, tandis que MAN a repris mot pour mot son contenu. Traduction : l'anno...
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A la demande de la rédaction d'Autocar & Bus Infos, MAN et Volvo ont réagi à l'annonce par la Conseil d'Etat d'annuler l'arrêté B100... Volvo a relayé le communiqué d'Esterifrance, tandis que MAN a repris mot pour mot son contenu. Traduction : l'annonce ne modifie en rien leur offre autocar et autobus en biocarburants, chez MAN, les moteurs D26 et D08 seront proposés en B100 exclusif, un atout pour accéder notamment aux ZFE estime Olivier Foucourt, responsable commercial Cars et Bus du constructeur interviewé par Autocar & Bus Infos.
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Selon Esterifrance, les véhicules fonctionnant exclusivement au B100 continuent de bénéficier de la vignette Crit'Air 1
Les véhicules de type poids-lourds, bus et autocars fonctionnant exclusivement au B100 continuent de bénéficier de la vignette Crit'Air 1 en application de l'arrêté du 4 octobre 2022, soutient le syndicat Esterifrance. Le syndicat estime en effet que...
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Les véhicules de type poids-lourds, bus et autocars fonctionnant exclusivement au B100 continuent de bénéficier de la vignette Crit'Air 1 en application de l'arrêté du 4 octobre 2022, soutient le syndicat Esterifrance. Le syndicat estime en effet que la décision du Conseil d'Etat ne remet pas en cause ni les qualités environnementales du B100, ni l'éligibilité des véhicules concernés à la vignette Crit'Air1. Pour rappel, le syndicat français des producteurs de biodiesel de type ester méthylique d'acide gras d'huile végétale, de graisse animale ou d'huile usagée regroupe les sociétés Saipol (filiale du Groupe Avril), Centre Ouest Céréales, Ineos, Nord-Ester et d'autres. Son rôle est de défendre les intérêts des producteurs nationaux, à la fois sur les questions politiques, fiscales, réglementaires et techniques.
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Le Conseil d'Etat annule l'arrêté B100 pour des raisons de procédures alors qu'il a été signé et est appliqué !
L'annonce, le 25 janvier, de l'annulation par le Conseil d'Etat de l'arrêté B100 a quelque peu surpris les professionnels du TRV et du TRM... Cette annonce va-t-elle forcer le gouvernement à faire marche arrière ? Pas sûr. Et l'arrêté devra-t-il être...
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L'annonce, le 25 janvier, de l'annulation par le Conseil d'Etat de l'arrêté B100 a quelque peu surpris les professionnels du TRV et du TRM... Cette annonce va-t-elle forcer le gouvernement à faire marche arrière ? Pas sûr. Et l'arrêté devra-t-il être remanié ? Difficile à dire puisqu'il a été signé par les ministres responsables et depuis, appliqué. Rappelons qu'il permet aux véhicules roulant exclusivement aux biocarburants d'afficher la vignette Crit'Air 1, et qu'ils peuvent, par ailleurs, circuler en zones à faibles émissions (ZFE). C'est le Président Emmanuel Macron qui avait annoncé, dès le 30 mars 2022, que les véhicules utilisant exclusivement du biocarburant B100 pourraient bénéficier de la vignette Crit'Air 1. Or, l'arrêté a été attaqué par des sociétés de gaz dont Proviridis. Etudes à l'appui, ils estiment que les camions, cars et bus roulant au B100 ne sont pas moins émetteurs de particules que les véhicules fonctionnant avec du gazole. Ils ne doivent donc pas, à leurs yeux, bénéficier de la même classification que les véhicules utilisant du gaz naturel. Dans la récente décision du Conseil d'Etat, les sociétés Gaz'up, Primagaz, Proviridis et Endesa Energia ont demandé l'annulation pour excès de pouvoir de cet arrêté. En réalité la décision émise hier relève plus d'une question procédurale. En effet, l'adoption de l'arrêté B100 devait, dès lors, être précédée, sous peine d'illégalité, d'une consultation préalable du public conformément à ces dispositions. Cliquez ci-dessous pour lire la décision au complet.
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HRS et pHYnix signent un accord-cadre pour le déploiement de projets européens de mobilités hydrogène
HRS (Hydrogen-Refueling-Solutions), concepteur et fabricant européen de stations de ravitaillement en hydrogène, annonce avoir signé un accord-cadre avec pHYnix(1), producteur indépendant européen d'hydrogène vert et de services associés, matérialisé...
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HRS (Hydrogen-Refueling-Solutions), concepteur et fabricant européen de stations de ravitaillement en hydrogène, annonce avoir signé un accord-cadre avec pHYnix(1), producteur indépendant européen d'hydrogène vert et de services associés, matérialisé par une première commande ferme de 8 stations HRS, dont 5 de capacité 1 t/jour et 3 stations 200 kg/jour. Dans le cadre de cet accord qui lie les partenaires jusqu'en 2027, HRS devient l'un des fournisseurs privilégiés des stations de ravitaillement en hydrogène des projets développés par pHYnix. Par ailleurs, cette société s'est engagéé à passer une partie de ses futures commandes auprès de HRS, au-delà des 8 premières prévues dans l'accord. Le pipeline de projets de pHYnix est de 1,7GW. Hassen Rachedi, fondateur et PDG de HRS a ajouté : « HRS est fier d'accompagner pHYnix dans le déploiement de projets européens, à la fois ambitieux et concrets dans l'hydrogène vert. La décarbonation des transports, au travers de la mobilité hydrogène, passe par la mise en place rapide d'un réseau d'infrastructures de dimension commerciale allant de la production à la distribution d'hydrogène. pHYnix est aujourd'hui un des acteurs les plus dynamiques dans ce domaine, ce qui en fait un partenaire naturel de HRS. Notre capacité à déployer rapidement des stations de large capacité, d'1 t/jour et plus, permettra d'accompagner l'essor rapide des capacités de production d'hydrogène vert de pHYnix ».
(1) pHYnix est une société européenne indépendante qui se consacre à la production, à la transformation et à la commercialisation d'installations de production d'hydrogène renouvelable. Avec des équipes en France, en Espagne et au Portugal, pHYnix est une filiale d'EverWatt, acteur intégré spécialisé dans l'aménagement énergétique et la décarbonation des Territoires, dont l'actionnaire majoritaire est Transition Evergreen, le premier fonds d'investissement coté en France dédié à la transition écologique et à la réduction de l'empreinte carbone.
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Etude comparative actualisée de la CATP des motorisations de bus en fonction des hausses de prix des énergies
Mise à jour en début d'année 2022, l'étude comparative des différentes motorisations d'autobus de la CATP connaît une nouvelle évolution avec la mise à jour des données en tenant compte des prix des énergies enregistrés en novembre 2022 ainsi que du ...
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Mise à jour en début d'année 2022, l'étude comparative des différentes motorisations d'autobus de la CATP connaît une nouvelle évolution avec la mise à jour des données en tenant compte des prix des énergies enregistrés en novembre 2022 ainsi que du nouveau référencement qu'elle vient de finaliser sur l'hydrogène. L'actualisation de cette base de données de référence permet de gagner en pertinence dans l'analyse du coût de possession (TCO), sur la durée de vie du véhicule, pour les différentes motorisations : gaz, électrique à batteries ou trolleybus, hybride, hydrogène, carburants alternatifs (agro-carburants et carburants de synthèse) et diesel, qui sert de référence dans la comparaison entre les énergies. Le constat est sans surprise celui d'une hausse significative et généralisée du coût total de possession. Pour les véhicules électriques, l'augmentation du coût est réelle mais limitée car la seule énergie pèse assez peu dans le coût global du véhicule, dans lequel l'acquisition et la maintenance (du fait du renouvellement des batteries en milieu de vie) représentent la part la plus significative. Idem pour l'hydrogène, dont le TCO a été revu à la hausse en fonction des coûts de production de l'énergie et ce malgré une diminution du prix d'acquisition observée lors de la récente consultation conduite par la CATP. En revanche, l'impact de la hausse du coût de l'énergie est particulièrement conséquente pour les véhicules GNV/BioGNV, au point de poser question sur la performance économique de cette énergie au vu des données actuelles. En cause notamment, l'indexation du prix du biogaz sur le gaz qui est lui-même indexé sur le prix du pétrole, ce qui s'avère un non-sens dans la mesure où le biométhane devrait représenter une alternative aux énergies fossiles. Dans l'intérêt de la transition énergétique, une décorrélation des prix du BioGNV d'avec les énergies fossiles est une mesure nécessaire que les professionnels appellent de leurs voeux. Cette actualisation est l'occasion de rappeler que les normes imposées par l'Etat pour renouveler les véhicules de transport public avec des technologies très onéreuses et pas encore complètement abouties sont globalement contre-productives en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Elles ont pour effet de ralentir le renouvellement des véhicules les plus polluants mais aussi de limiter la capacité financière des collectivités dans le maintien voire l'augmentation de l'offre de transport.
L'étude comparative des différentes motorisations d'autobus est disponible sur demande sur le site Agir Transport : https://www.agir-transport.org/bibliotheque-medias/
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