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AZ PARE BRIZ utilisera désormais TRIBU
Le Réseau AZ PARE BRIZ, créé en 2022, entame le déploiement de l'outil TRIBU de la FFC Mobilité et Services dans ses 20 centres de vitrage en France. Une reconnaissance qui démontre une fois de plus la pertinence de la cession de créance, gérée par u...
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Le Réseau AZ PARE BRIZ, créé en 2022, entame le déploiement de l'outil TRIBU de la FFC Mobilité et Services dans ses 20 centres de vitrage en France. Une reconnaissance qui démontre une fois de plus la pertinence de la cession de créance, gérée par un outil informatique de qualité.
L'outil TRIBU sera à la disposition de tous les centres du réseau AZ PARE BRIZ dès le 1er octobre 2023. Pour Nadia COTILLON, Directrice Administrative et Financière du Groupe AZ PARE BRIZ : "L'outil Tribu de la FFC va permettre à AZ PARE BRIZ de proposer à ses franchisés une solution clé en main pour la gestion de leurs clients. Le service d'accompagnement de la FFC Mobilité, Réparation et Services jusqu'au règlement des factures va nous aider à continuer sereinement le développement de notre réseau".
Selon Patrick NARDOU, président de la FFC Mobilité Réparation et Services : " C'est le sixième réseau de vitriers spécialisés avec qui nous tissons un partenariat, prouvant l'intérêt de notre accompagnement spécialisé."
Pour rappel, TRIBU est une plateforme informatique de gestion de sinistres automobiles par cession de créance. TRIBU permet notamment de simplifier les démarches administratives liées à ce process de règlement auprès d'un vitrier spécialisé non agréé par l'assureur. Grâce à la cession de créance, le client n'a plus besoin d'avancer les frais de remise en état, en attendant que son assurance le rembourse. Il laisse au professionnel le soin de se faire régler directement par la compagnie d'assurance.
Alors que ce procédé administratif se démocratise depuis quelques années, la simplification des démarches que permet la plateforme TRIBU séduit de plus en plus de professionnels ne disposant pas des agréments de toutes les compagnies d'assurance. En 2022, la FFC Mobilité Réparation et Services a enregistré plus de 123 000 dossiers traités avec succès par TRIBU.
D'UNE HISTOIRE A UN CONCEPT : le réseau AZ PARE BRIZ
La création du réseau s'est forgée sur des valeurs humaines, avec des collaborateurs engagés. Le groupe AZ PARE BRIZ a su construire avec l'ensemble de ses partenaires une relation de confiance et durable. Adhérer à AZ PARE BRIZ, c'est aussi, profiter d'un centre d'appel dédié à ses licenciés, et capitaliser sur l'expérience d'une équipe d'hommes et de femmes de terrain. Enfin, les franchisés profitent d'une solution informatique complète, un site internet et des axes de communication nationale, des formations administratives et commerciales, un accompagnement personnalisé et à l'écoute.
AZ PARE BRIZ est une enseigne sans agrément, mais soucieuse de se conformer à l'ensemble des protocoles stricts imposés par le secteur de l'automobile. Le réseau s'engage également à respecter et faire respecter la charte de bonne conduite à tous ses licenciés et en être le gardien.
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Encore un procès de gagné par La FFC Mobilité Réparation et Services au tribunal de Saintes
Une fois de plus, le 7 septembre 2023, la FFC Mobilité Réparation et Services a obtenu réparation pour son adhérent du réseau Rapid Pare-brise, en indélicatesse avec l'assureur Mutuelle de Poitiers Assurances.
Le Garage RPBS SAS, vitrier spé...
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Une fois de plus, le 7 septembre 2023, la FFC Mobilité Réparation et Services a obtenu réparation pour son adhérent du réseau Rapid Pare-brise, en indélicatesse avec l'assureur Mutuelle de Poitiers Assurances.
Le Garage RPBS SAS, vitrier spécialisé de Saintes (17), ayant changé un pare-brise, s'est retrouvé avec un paiement partiel de sa facture de la part de l'assureur Mutuelle de Poitiers assurances. Ce dernier avait décidé de confier à un expert de complaisance l'étude de la facture en lui demandant de plafonner arbitrairement le taux horaire du réparateur.
Celui-ci avait fait usage de la cession de créance, un moyen parfaitement légal de se faire régler la réparation d'un sinistre, pour un professionnel ne disposant pas de l'agrément officiel d'une société d'assurance.
Le professionnel a donc logiquement engagé une procédure contentieuse contre l'assureur, qui s'était opposé à la saisie de la somme par l'huissier. La FFC Mobilité Réparation et Services l'a donc assisté dans l'assignation en justice de la compagnie. L'assureur Mutuelle de Poitiers n'a même pas comparu au tribunal.
Le tribunal a conclu que le chiffrage évoqué par l'assureur n'était pas contradictoire et n'avait pas été fourni pour sa défense, et l'a condamné au paiement de la créance de 132,72 euros, en complément de l'ensemble des frais supportés par le Garage RPBS et de 500 euros au titre de l'article 700.
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La FFC Mobilité Réparation et Services et la cession de créance triomphent contre AXA au tribunal de Bordeaux
Une fois de plus, la FFC Mobilité Réparation et Services a obtenu réparation le 10 juillet 2023 pour son adhérent de la région Grand Sud-Ouest, en indélicatesse avec Axa.
La carrosserie Clavères de Langon ayant changé un pare-brise s'est ret...
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Une fois de plus, la FFC Mobilité Réparation et Services a obtenu réparation le 10 juillet 2023 pour son adhérent de la région Grand Sud-Ouest, en indélicatesse avec Axa.
La carrosserie Clavères de Langon ayant changé un pare-brise s'est retrouvé avec un paiement partiel de sa facture de la part de l'assureur AXA, qui a décidé d'effectuer lui-même, sans expertise contradictoire, le chiffrage du dommage et de plafonner de ce fait son indemnité. Le réparateur avait fait usage de la cession de créance, un moyen parfaitement légal de se faire régler la réparation d'un sinistre, pour un professionnel ne disposant pas de l'agrément officiel d'une société d'assurance.
Le professionnel a donc logiquement engagé une procédure contentieuse contre l'assureur, qui s'était opposé à la saisie de la somme par l'huissier. La FFC Mobilité Réparation et Services l'a donc assisté dans l'assignation en justice de la compagnie.
Le tribunal a conclu que l'outil « Certiglass » mis en place par AXA n'est pas opposable à la Société de carrosserie lésée, et a condamné l'assureur AXA au paiement de la créance de 108,14 Euros, en complément d'intérêts de retard et de 1 500 Euros au titre de l'article 700.
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Remboursement de la TICPE : rien ne change finalement, selon le ministre de l'Economie
L'Union TLF communique une information qui va en rassurer plus d'un : Bruno Lemaire a indiqué ce matin sur France Info ce matin qu'il ne touchera pas au remboursement de la TICPE pour le secteur du transport et de la logistique. « Je ne vais pas a...
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L'Union TLF communique une information qui va en rassurer plus d'un : Bruno Lemaire a indiqué ce matin sur France Info ce matin qu'il ne touchera pas au remboursement de la TICPE pour le secteur du transport et de la logistique. « Je ne vais pas affaiblir nos transporteurs, afin de garder notre compétitivité », a-t-il souligné, faisant allusion au fait que le niveau de taxation du gazole pour les transporteurs routiers est déjà supérieur à celui pratiqué par d'autres pays européens,.
Bruno Lemaire précise dans cette interview que la suppression de la niche fiscale est par contre confirmée pour le gazole non routier utilisé par les agriculteurs et le bâtiment. - MF
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MARTIN 3D rejoint la FFC Équipements et Véhicules
La FFC accueille MARTIN 3D en tant qu'adhérent de sa branche FFC Équipements et Véhicules. Une opération qui complète le dispositif réglementaire de la FFC, qui disposait déjà d'un service technique de haut niveau avec l'UTAC et TRANSPOLIS.
D...
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La FFC accueille MARTIN 3D en tant qu'adhérent de sa branche FFC Équipements et Véhicules. Une opération qui complète le dispositif réglementaire de la FFC, qui disposait déjà d'un service technique de haut niveau avec l'UTAC et TRANSPOLIS.
Dans le domaine de la carrosserie industrielle, les sujets réglementaires occupent de plus en plus les carrossiers-constructeurs, équipementiers et aménageurs. Au cur des problématiques de ses adhérents, la FFC Équipements et Véhicules se devait de proposer une réponse globale, complète et fiable à cet enjeu majeur. Déjà auréolée d'un service de qualité, fourni par l'UTAC (Race Online) et TRANSPOLIS (dont la FFC est actionnaire), la FFC Équipements et Véhicules complète son dispositif et s'attache aujourd'hui les services du spécialiste incontesté du secteur, MARTIN 3D.
Dès aujourd'hui, MARTIN 3D, cabinet de conseil et formations en carrosserie industrielle bien connu dans la profession, rejoint donc la FFC Équipements et Véhicules.
A la faveur de cette adhésion, les services à forte valeur ajoutée de MARTIN 3D seront très prochainement disponibles pour les adhérents FFC Équipements et Véhicules qui le souhaitent. Plus concrètement, cela signifie qu'ils auront accès aux fiches de veille réglementaire de MARTIN 3D, spécifique aux carrossiers constructeurs, avec une mise à jour hebdomadaire.
Ces fiches sont issues des règlements de l'ONU (UNECE), des règlements de l'UE ainsi que du code de la route français (arrêté, décret, circulaire...). Chaque évolution d'un texte entraine une analyse qui, suivant le cas, conduit à une mise en ligne sans suite, une simple information, ou la création d'une fiche de veille dans un délai variable en fonction de sa date de mise en application (mais toujours avant cette dernière). Le niveau de vulgarisation de ces fiches constitue une véritable force de MARTIN 3D, résultat de l'expertise de ses équipes. « Quel que soit le texte et sa complexité, nous mettons un point d'honneur à le rendre compréhensible par les opérateurs, dans les meilleurs délais », détaille Bruno MARTIN, fondateur et dirigeant de MARTIN 3D.
Tab Control, l'outil le plus efficace pour les opérateurs qualifiés
Fruit d'un développement de près de 8 ans et en perpétuelle évolution, l'application Tab Control de MARTIN 3D permet aux Opérateurs Qualifiés de réaliser de manière intuitive tous les contrôles réglementaires nécessaires, afin d'éditer les annexes indispensables pour immatriculer les véhicules carrossés. Utilisant une tablette tactile, Tab Control contient un module veille réglementaire et un module dossier technique, qui permet la génération des points de contrôle spécifiques au véhicule configuré, la génération automatique des fiches de veille réglementaire spécifique au véhicule configuré, le contrôle de chaque étape (relevé de côtes, répartition des charges etc...), l'édition des certificats appropriés en fonction du véhicule configuré (Annexe II, IV, VIII et IX ou X). A ce jour, plus d'un tiers des opérateurs qualifiés utilisent Tab Control.
Grâce aux services de l'UTAC, de MARTIN 3D et de TRANSPOLIS, réunis sous la bannière FFC TECHNIQUE, les adhérents de la FFC Équipements et Véhicules bénéficient désormais d'une puissance réglementaire exceptionnelle et inégalée dans la filière.
Plus d'informations : frederic.richard@ffc-carrosserie.org
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Déremboursement de la TICPE : les organisations patronales rappellent leur farouche opposition à cette mesure
C'est décidément le flou total sur le déremboursement progressif de la TICPE annoncé en juin dernier par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire. déremboursement progressif de la TICPE. Alors qu'une info des Echos semblait rassurante en évoquant l'a...
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C'est décidément le flou total sur le déremboursement progressif de la TICPE annoncé en juin dernier par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire. déremboursement progressif de la TICPE. Alors qu'une info des Echos semblait rassurante en évoquant l'abandon de cette mesure estimée trop sensible, et son report éventuel à 2027 (voir 60341), les transporteurs n'ont apparemment reçu aucune certitude à cet égard. A un mois de la présentation du projet de loi de finances pour 2024, l'OTRE, la FNTR et TLF rappellent par conséquent leur ferme opposition à toute évolution de la TICPE, faute de cadre fiscal harmonisé européen.
Les organisations professionnelles rappellent à cette occasion que le remboursement partiel de la TICPE ne constitue en rien une « niche fiscale » franco-française, mais bel et bien un dispositif indispensable visant à limiter les écarts de fiscalité entre les transporteurs des États membres européens. « Malgré ce remboursement partiel, précisent les fédés, la France fait déjà partie des tout premiers pays qui taxent le plus son secteur des transports de marchandises. Sans le remboursement partiel, la France serait le pays à la fiscalité la plus lourde d'Europe ! ». - MF
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La réduction du remboursement partiel de la TICPE aura bel et bien lieu
Depuis des mois, les organisations patronales étaient vent debout contre la perspective de réduction du remboursement partiel de la TICPE prévue par l'article 130 de la Loi Climat et Résilience. Or cette mesure sera bien inscrite dans le Projet de Lo...
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Depuis des mois, les organisations patronales étaient vent debout contre la perspective de réduction du remboursement partiel de la TICPE prévue par l'article 130 de la Loi Climat et Résilience. Or cette mesure sera bien inscrite dans le Projet de Loi de Finances 2024, provoquant la colère des fédérations, qui y voient un nouvel alourdissement de leur fiscalité et surtout une mesure inacceptable pour la compétitivité logistique française.
La FNTR résume son argumentation en une phrase : « Le gazole professionnel est un mécanisme européen dont la disparition programmée en France pose de réelles difficultés de compétitivité sans favoriser efficacement la transition énergétique ».
L'OTRE de son côté rappelle que dans la loi Climat et Résilience, la fin du remboursement partiel de la TICPE est clairement conditionnée par la disponibilité de l'offre de véhicules et de réseaux d'avitaillement..., ce qui n'est pas encore le cas et ne le sera certainement pas en 2024, date du premier coup de rabot apporté à la réduction. La suppression des tarifs réduits de TICPE va se faire progressivement d'ici 2030. - MF
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Le lobby pro-électrique T&E cherche à accorder aux PL électriques +2 t de PTAC dans toute l'UE
La réglementation française prévoit déjà un PTAC supérieur de 2 t pour les camions électriques. Le propagandiste pro-électrique Transport et Environnement, qui voit dans l'électrique « la » solution universelle au détriment d'autres énergies tout aus...
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La réglementation française prévoit déjà un PTAC supérieur de 2 t pour les camions électriques. Le propagandiste pro-électrique Transport et Environnement, qui voit dans l'électrique « la » solution universelle au détriment d'autres énergies tout aussi pertinentes, a déposé un projet de loi auprès de l'UE pour que cette spécificité française soit élargie à tous les pays européens.
Son objectif est d'accélérer l'adoption par les transporteurs de camions électriques et à hydrogène en les convaincant que les grands-routiers électriques peuvent jouer leur rôle sur de longs trajets sans perte de charge utile.
Le projet de loi propose également de nouvelles règles régissant les écocombis de 25,25 de long (soit près de 9 mètres de plus que les camions classiques) sur les autoroutes européennes. Actuellement, certains États membres autorisent les écocombies (également appelés gigaliners) à traverser les frontières, mais la légalité de ces accords bilatéraux est depuis longtemps remise en doute. La Commission propose maintenant de réglementer ces accords. Cette proposition de loi n'étendrait pas l'utilisation des gigaliners aux États membres qui ne les autorisent pas. T&E exige que tous les gigaliners transfrontaliers soient zéro émission d'ici 2035 et qu'ils ne pourront pas circuler sur des routes où ils mettent en danger cyclistes et piétons. Ce qui revient à les cantonner à un usage autoroutier. Enfin, ils ne doivent pas concurrencer le rail, toujours selon T&E. - MF
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Dématérialisation de la carte verte : La FFC intervient auprès des Ministères
En février 2022, la FFC Mobilité Réparation et Services a découvert que les assureurs envisageaient de supprimer la carte verte et le certificat d'assurance des automobilistes, au profit d'un document numérique.
Sous couvert de simplification...
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En février 2022, la FFC Mobilité Réparation et Services a découvert que les assureurs envisageaient de supprimer la carte verte et le certificat d'assurance des automobilistes, au profit d'un document numérique.
Sous couvert de simplification et de réduction de dépenses, l'action de transmission des données dématérialisées (qui poursuit une finalité d'intérêt public) ne doit néanmoins pas devenir un moyen de priver l'assuré de son choix du réparateur et du recours contre l'assureur responsable.
Ainsi, la FFC Mobilité Réparation et Services, voit dans cette démarche des assureurs comme une possible manuvre destinée à accroître la dépendance des carrossiers-réparateurs à leur égard. En effet, lors d'un sinistre, un client automobiliste qui ne dispose plus de papillon sur son pare-brise ni de carte verte dans son portefeuille, n'a plus aucune information immédiate sur le nom de son assureur, son numéro de client, son numéro de contrat etc. Ce qui revient à réserver ces infos uniquement au réseau de garages agréés par l'assureur, grâce à l'avis de sinistre qu'il lui fait parvenir. Cette démarche constitue donc une entrave manifeste au libre choix du réparateur, un principe cardinal du Droit.
La FFC Mobilité Réparation et Services a donc agi et rencontré le ministère de l'Intérieur et de la Direction ASSUR du ministère de l'Économie par quatre fois en 2022 et 2023 pour défendre les intérêts de ses adhérents carrossiers et vitriers spécialisés.
A l'issue de ces entretiens, les pouvoirs publics ont salué le travail et la détermination de l'organisation professionnelle. Désormais, grâce à la sensibilisation menée par la FFC Mobilité Réparation et Services, un document nommé « Mémo assuré » sera remis par l'assureur à l'assuré, qui le gardera dans le véhicule. Toutes les informations utiles aux carrossiers réparateurs seront contenues dans ce support non dématérialisé. Par ailleurs, les représentants de la Direction ASSUR ont également confirmé que l'accès au Fichier des Véhicules Assurés (FVA) serait public mais uniquement pour savoir si l'assuré est bien à jour de ses cotisations d'assurance.
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La FFC Mobilité Réparation et services au 1er salon des métiers de l'Automobile de la Martinique
L'Union des Professionnels de l'Automobile de la Martinique (UPAM), présidée par Mathias POTIRON, adhérente de la FFC Mobilité Réparation et Services, a organisé les 15 et 16 juin son premier salon des métiers de l'Automobile à Fort de France.
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L'Union des Professionnels de l'Automobile de la Martinique (UPAM), présidée par Mathias POTIRON, adhérente de la FFC Mobilité Réparation et Services, a organisé les 15 et 16 juin son premier salon des métiers de l'Automobile à Fort de France.
Comme c'est le cas en métropole, le secteur automobile dans les Antilles souffre d'un manque de personnel. A ce titre, il est crucial de donner envie aux jeunes de s'orienter vers l'ensemble des métiers des services à l'Automobile. C'était tout l'objet de cet évènement, organisé par l'UPAM, avec le soutien de la Collectivité Territoriale de la Martinique (CTM) et de la ville de Fort de France, sans qui cette manifestation n'aurait pas existé.
De nombreux élèves des collèges et des lycées ont ainsi pu découvrir les stands des exposants sur le parking du stade Pierre-Aliker de Dillon, et échanger avec les professionnels. Pendant toute la journée, ils ont rencontré rencontré des représentants du Cnam (Conservatoire national des arts et métiers), du RSMA (Régiment du service militaire adapté de la Martinique), de la police nationale, de l'Opco Mobilité, des concessionnaires...
Pour Mathias POTIRON, président de l'UPAM, "Il faut les motiver dès le plus jeune âge à venir travailler dans notre secteur, qui propose des métiers de mécaniciens et de carrossiers, mais aussi de vendeurs, de chef d'équipes, de directeurs etc. Ils doivent retenir qu'à l'issue de leur formation ils auront à coup sûr un travail."
Maylis DOSBA et Laurent FOURCADE, élus du bureau National de la FFC Mobilité Réparation et Services, avaient fait le déplacement pour venir inaugurer le salon et venir à la rencontre des adhérents et futurs adhérents de l'UPAM, son partenaire local.
L'UPAM, seul syndicat régional des métiers de l'Automobile, apporte avec le support de la FFC Mobilité Réparation et Services, toute l'aide juridique nécessaire au soutien de ses adhérents Martiniquais.
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Yannick Jadot veut une diminution de 100 % des émissions de CO2 des camions
Dans le rapport qui sera présenté aujourd'hui à la Commission de l'environnement du parlement européen, Yannick Jadot préconise de durcir et d'élargir les standards d'émission de CO2 des poids lourds. Alors que l'objectif proposé par la CE en février...
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Dans le rapport qui sera présenté aujourd'hui à la Commission de l'environnement du parlement européen, Yannick Jadot préconise de durcir et d'élargir les standards d'émission de CO2 des poids lourds. Alors que l'objectif proposé par la CE en février 2022 était de baisser de 90 % les émissions de CO2 des PL neufs en 2040 par rapport à 2019 (avec deux étapes intermédiaires de 45% en 2030, puis de 65 % en 2035), le député européen estime que cette feuille de route n'est pas à la hauteur de notre responsabilité climatique. Il propose donc de fixer 100% de baisse des émissions de CO2 en 2040, avec des étapes intermédiaires de 65 % en 2030, puis de 95 % dès 2035. Selon lui, le contexte oblige les constructeurs de VI à changer leurs moyens de production pour faire face au défi climatique, et ils attendent "une direction claire et stable".
Le rapporteur prétend que ces propositions s'appuient sur des discussions menées avec des constructeurs et des organisations professionnelles. Puisque l'ACEA estime que ces objectifs de baisse d'émissions impliquent une forte accélération du déploiement des infrastructures de recharge, Yannick Jadot préconise de relever en conséquence le minimum fixé par le règlement Afir (règlement sur les infrastructures pour les carburants alternatifs).
A cette fin, le député recommande la mise en place d'un "Forum zéro émission" qui associerait tous les acteurs de la chaîne de valeur (constructeurs, transporteurs, énergéticiens, opérateurs logistiques, etc.) pour garantir que cet objectif d'infrastructures soit réalisable et suggère de n'accorder aucune dérogation aux véhicules spécialisés (bennes à ordures, véhicules médicalisés, etc.) et aux moins de 5 tonnes, contrairement aux préconisations de l'exécutif européen.
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« Nous n'avons jamais accepté une hausse de la fiscalité des carburants », s'insurgent les organisations patronales face aux annonces de Bruno Le Maire
L'OTRE, la FNTR et l'Union TLF ont diffusé un communiqué de presse commun pour faire part de leur inquiétude après avoir appris par les médias que Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, désire revenir sur la fiscalité des carburants (TICPE) pour plu...
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L'OTRE, la FNTR et l'Union TLF ont diffusé un communiqué de presse commun pour faire part de leur inquiétude après avoir appris par les médias que Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, désire revenir sur la fiscalité des carburants (TICPE) pour plusieurs secteurs d'activité, dont le transport routier. Ceci sous couvert de financement de la transition écologique. Les organisations patronales contestent la déclaration du ministre, qui affirme que les fédérations du TRM se seraient déclarées « prêtes à s'engager dans cette démarche en vue du prochain projet de loi de finances ».
Pour elles, cela annonce un rabot de l'ex-TICPE (désormais fraction perçue en métropole sur les produits énergétiques, autres que les gaz naturels et les charbons), mais également un renforcement généralisé de la fiscalité, tant locale que nationale, pesant sur le secteur. « La fin du remboursement partiel de l'ex-TICPE a certes été actée dans la loi Climat et Résilience, mais à condition qu'une offre de véhicules et de réseaux d'avitaillement soient disponibles pour permettre le renouvellement du parc de poids lourds ». Ce qui n'est pas le cas : cette offre sera accessible au mieux à partir de 2030...
Pour ne pas affaiblir encore davantage le secteur du transport routier, la FNTR, l'OTRE et l'Union TLF demandent solennellement à être reçus par Bruno LE MAIRE ou ses équipes dans les meilleurs délais afin d'évoquer les perspectives d'évolution de la fiscalité s'appliquant au TRM. - MF
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MOTORCRAFT utilisera désormais TRIBU
Le Réseau MOTORCRAFT, créé en 2004 par Ford France, préconise l'outil TRIBU de la FFC Mobilité Réparation et Services à ses 463 sites français. Une reconnaissance qui démontre une fois de plus la pertinence de la cession de créance gérée par un outil...
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Le Réseau MOTORCRAFT, créé en 2004 par Ford France, préconise l'outil TRIBU de la FFC Mobilité Réparation et Services à ses 463 sites français. Une reconnaissance qui démontre une fois de plus la pertinence de la cession de créance gérée par un outil informatique de qualité.
L'outil TRIBU sera à la disposition de tous les centres du réseau MOTORCRAFT dès le 1er juin 2023. Pour Romain PETIBON, Responsable de l'enseigne MOTORCRAFT : "L'outil Tribu de la FFC va permettre à MOTORCRAFT de proposer un outil efficace à ses adhérents dans la mise en place de son label vitrage « Motorcraft Glass » et aussi pour ceux ayant des activités de carrosserie. Le service d'accompagnement de la FFC Mobilité, Réparation et Services jusqu'au règlement des factures va nous aider à continuer sereinement le développement de notre réseau".
Selon Patrick NARDOU, président de la FFC Mobilité Réparation et Services : "MOTORCRAFT est le troisième réseau d'un constructeur automobile à nous rejoindre et nous en sommes très fiers".
Pour rappel, TRIBU est une plateforme informatique de gestion de sinistres automobiles par cession de créance. TRIBU permet notamment de simplifier les démarches administratives liées à ce process de règlement auprès d'un carrossier ou d'un vitrier spécialisé non agréé par l'assureur.
Grâce à la cession de créance, le client n'a plus besoin d'avancer les frais de remise en état, en attendant que son assurance le rembourse. Il laisse au professionnel le soin de se faire régler directement par la compagnie d'assurance.
Alors que ce procédé administratif se démocratise depuis quelques années, la simplification des démarches que permet la plateforme TRIBU séduit de plus en plus de professionnels ne disposant pas des agréments de toutes les compagnies d'assurance. En 2022, la FFC Mobilité Réparation et Services a enregistré plus de 125 000 dossiers dans TRIBU.
MOTORCRAFT est un réseau national de 463 points de vente spécialistes dans l'univers de la réparation et de l'entretien de l'automobile.
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Décarbonation des transports - La Csiam appelle à l'engagement de l'Etat pour préserver l'avantage compétitif des constructeurs européens
Pour affronter le défi de la décarbonation du transport de marchandises et de voyageurs, il est indispensable de fixer un cadre juridique stable, basé sur les prévisions partagées par tous les acteurs et de mettre en place un ensemble de mesures d'ac...
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Pour affronter le défi de la décarbonation du transport de marchandises et de voyageurs, il est indispensable de fixer un cadre juridique stable, basé sur les prévisions partagées par tous les acteurs et de mettre en place un ensemble de mesures d'accompagnement efficaces estime la Csiam (Chambre Syndicale Internationale de l'Automobile et du Motocycle). Voici le contenu de son communiqué de presse : « L'industrie des camions, bus et cars est européenne. Des entreprises telles que DAF Trucks, Daimler, Iveco, MAN, Scania, Van Hool, VDL, Volvo Group et Volta Trucks mènent des activités de recherche et développement en Europe, dessinent, fabriquent et assemblent des véhicules sur le continent européen. Selon l'ACEA, l'Europe compte 52 usines (...) En France, il convient de souligner la contribution des constructeurs tels que Daimler, Iveco, Scania et Volvo Group qui produisent 85 000 véhicules sur le sol français. Ces fabricants soutiennent l'économie locale en créant des emplois (17 800 existants) et en stimulant la croissance industrielle. Tous les constructeurs européens sont pleinement engagés dans la décarbonation du secteur du transport de marchandises. Pour atteindre l'objectif de neutralité carbone en 2050, ils ont fait le choix stratégique de l'électrification de leur parc de véhicules. Cette transition vers des véhicules électriques constitue une avancée majeure en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de promotion d'un transport plus durable. Grâce à leur avantage technologique et commercial, les constructeurs européens sont en position de force sur le marché mondial. Leurs investissements massifs dans la recherche, le développement et la production leur permettent de proposer des solutions innovantes qui répondent aux besoins du secteur du transport de marchandises et de voyageurs, tout en favorisant la transition vers une mobilité plus respectueuse de l'environnement. Ils commercialisent déjà des solutions permettant de décarboner jusqu'à 90 %, alors qu'il y a cinq ans encore, aucune offre dans ce domaine n'était disponible. Pour participer à l'élaboration d'une feuille de route de décarbonation dans le cadre de l'article 301 de la loi climat et résilience, les constructeurs adoptent des objectifs résolument ambitieux : nos projections d'immatriculations de véhicules neufs électriques de plus de 7,5 t s'établissent à 14 % en 2025 et à 50 % en 2030 (parc roulant actuellement : 446 000 unités, dont 62 440 électriques en 2025 et 223 000 en 2030). Les véhicules électriques et à hydrogène coûtent entre 2 et 3 fois plus chers que leurs équivalents thermiques. Toutefois, pour évaluer l'efficacité des différentes technologies, il faut tenir compte du TCO (coût total de possession), analyser le cycle de vie des véhicules et prendre en compte l'ensemble des données : l'achat, la revente, la carrosserie, le coût de l'énergie, la maintenance, les infrastructures de recharge, etc. De ce fait, l'écart de coût avec le diesel se réduit de plus en plus. (...) Il est important de noter que les financements et les aides actuellement disponibles sont encore insuffisants pour accélérer pleinement la transition vers l'électrification du parc de véhicules. Les appels à projet de l'Ademe comme le dernier annoncé de 60 millions d'euros, vont dans le bon sens, mais ils permettent de financer au maximum 500 véhicules ! Il convient également de noter les différences de subventions en Europe, qui peuvent être défavorables à la France. Par exemple, en Allemagne, la subvention la plus élevée pour un véhicule électrique est de 360 000 euros, tandis que des modèles de subventions comparables existent en Belgique et en Espagne, où les montants maximaux des subventions atteignent respectivement 160 000 euros et 190 000 euros. En Norvège et en Suède, les aides sont également très avantageuses. La dispersion observée au sein de l'Union européenne, et plus largement en Europe dans ce domaine est préjudiciable aux constructeurs, à leurs clients et, au-delà, à l'ensemble de la population dans la mesure où cette dispersion apparaît contradictoire avec les ambitions considérables poursuivies par les gouvernements et l'Union européenne. Un système de subvention simple, inscrit dans la durée et à la hauteur des enjeux à traiter constituerait un progrès considérable et faciliterait, pour l'ensemble des acteurs, leur implication dans la décarbonation. Les constructeurs automobiles travaillent également sur des innovations technologiques telles que les routes électriques, les méga camions, les carburants alternatifs et les projets de stations multi-énergies pour le parc roulant et l'exportation. Le défi de la décarbonation du transport de marchandises est colossal et nécessite un cadre réglementaire stable, basé sur les prévisions partagées par le secteur. Pour la réalisation de la feuille de route de décarbonation, il serait également indispensable de mettre en place un ensemble de mesures d'accompagnement énergétique, notamment une planification et des aides pour l'installation des bornes de recharge pour les véhicules industriels, ainsi qu'un taux de TVA réduit pour l'électricité à usage professionnel et l'extension du bouclier tarifaire à la mobilité électrique pour les gestionnaires de poids lourds. En soutenant l'électrification du secteur du transport de marchandises, l'État contribue non seulement à préserver l'avantage compétitif de l'industrie européenne et française, mais aussi à stimuler le développement de cette industrie en favorisant l'innovation, la création d'emplois et la croissance économique ».
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Encore une victoire pour la FFCMobilité Réparation et Services et la cession de créance en Charente
Une fois de plus, la FFC Mobilité Réparation et Services a obtenu réparation pour son adhérent, en indélicatesse avec Pacifica.
Le professionnel adhérent du réseau RAPID PAREBRISE à Châteaubernard(16) s'est retrouvé avec un impayé de la part...
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Une fois de plus, la FFC Mobilité Réparation et Services a obtenu réparation pour son adhérent, en indélicatesse avec Pacifica.
Le professionnel adhérent du réseau RAPID PAREBRISE à Châteaubernard(16) s'est retrouvé avec un impayé de la part de l'assureur PACIFICA, alors même qu'il avait fait usage de la cession de créance, un moyen parfaitement légal de se faire régler la réparation d'un sinistre, pour un professionnel ne disposant pas de l'agrément officiel d'une société d'assurance.
Le réparateur a donc logiquement engagé une procédure contentieuse contre l'assureur, qui s'était opposé à la saisie de la somme par l'huissier. La FFC Mobilité Réparation et Services l'a donc assisté dans l'assignation en justice de cette compagnie, qui n'en est pas à son premier litige sur le même sujet.
L'assureur a missionné son avocat parisien, sans réussir à démonter la défense du réparateur et de la FFC, appuyée sur le code civil et de nombreuses victoires précédentes.
En conséquence, le tribunal a condamné PACIFICA au paiement de la créance due au réparateur, correspondant aux montants facturés par celui-ci, en complément d'intérêts de retard et des frais de l'article 700 pour la somme de 1000 euros.
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Trois propositions en vue de l'instauration des Zones à faibles émissions
Le ministre Clément Beaune a réuni cette semaine les membres du comité de coordination nationale des ZFE-m lancé en janvier dernier. De son côté, l'Union TLF lui a présenté ses trois propositions :
Le ministre Clément Beaune a réuni cette semaine les membres du comité de coordination nationale des ZFE-m lancé en janvier dernier. De son côté, l'Union TLF lui a présenté ses trois propositions : - Définir un calendrier partagé prenant en compte les capacités techniques et technologiques = pas d'interdiction des véhicules Crit'Air 2 avant 2030 au moins.
- Etablir une liste nationale de référence des dérogations pour davantage d'harmonisation.
- Publier un recueil des bonnes pratiques des collectivités locales en matière d'aides / d'incitations à la transition et valoriser les démarches de décarbonation des flottes déjà engagées par les acteurs de la logistique.
Dans la perspective du prochain rendez-vous avec le ministre Christophe Béchu en juillet, les voies permettant d'atteindre ces objectifs doivent être identifiées concrètement, selon TLF, avec l'Etat et les collectivités locales. TLF a listé ses 10 propositions à consulter ici. - MF
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Nouvelle victoire pour la FFC Mobilité Réparation et Services et le nantissement de créance, à Châteauroux
Une fois de plus, la FFC Mobilité Réparation et Services a obtenu réparation pour son adhérent BC Automobiles de Châteauroux, que la MATMUT refusait d'indemniser.
Le professionnel Castelroussin s'est retrouvé avec douze factures impayées de l...
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Une fois de plus, la FFC Mobilité Réparation et Services a obtenu réparation pour son adhérent BC Automobiles de Châteauroux, que la MATMUT refusait d'indemniser.
Le professionnel Castelroussin s'est retrouvé avec douze factures impayées de la part de l'assureur MATMUT, alors même que le carrossier avait fait usage du nantissement de créance, un moyen parfaitement légal de se faire régler la réparation d'un sinistre, pour un professionnel ne disposant pas de l'agrément officiel d'une société d'assurance.
Le réparateur avait été débouté de sa première procédure contentieuse contre l'assureur. La FFC Mobilité Réparation et Services a alors apporté son assistance à l'avocat du professionnel, dans sa procédure en appel.
La cour d'appel de Rouen (76), dans son arrêt du 15 mars 2023, a ainsi condamné la MATMUT à payer les sommes de 8 177, 34 euros avec intérêts légaux (à compter du 22 janvier 2019), et de 4 000 euros au titre des « frais irrépétibles » et au dépend de première instance et d'appel.
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La FFC Mobilité Réparation et Services se félicite pour deux nouvelles victoires pour le recours direct !
Le premier jugement a été rendu le 1er février 2023 par le tribunal de commerce d'Arras (62). Il a condamné la société PACIFICA à indemniser la victime d'un accident de la circulation, alors qu'elle croyait pouvoir s'y soustraire, au motif inopérant ...
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Le premier jugement a été rendu le 1er février 2023 par le tribunal de commerce d'Arras (62). Il a condamné la société PACIFICA à indemniser la victime d'un accident de la circulation, alors qu'elle croyait pouvoir s'y soustraire, au motif inopérant que ce dernier, en tant qu'auto-école, était locataire du véhicule et non son propriétaire.
Dans sa décision, le tribunal de commerce d'Arras a jugé irrecevable le refus d'indemnisation de l'assureur PACIFICA, sachant que le locataire a l'obligation de s'assurer et détient alors le droit d'un assuré. La condamnation oblige l'assureur à payer à l'assuré les sommes de 548,80 Euros au titre du dommage matériel, de 193 Euros d'immobilisation du véhicule, de 559,28Euros de frais d'expertise, de 4 500 euros au titre de la résistance abusive, de 1 406,12Euros au titre de l'article 700 et de 120,44 Euros pour frais de greffe. Soit plus de 7 000 euros de réparation pour le préjudice subi.
Le deuxième jugement a été rendu le 17 février 2023 par le tribunal judiciaire de Valenciennes (59), et a condamné cette fois la société AIG Europe, à indemniser la victime d'un accident de la circulation.
Dans sa décision, le tribunal judiciaire de Valenciennes a jugé irrecevable le refus d'indemnisation de l'assureur AIG Europe, qui ne s'est même pas rendu à l'audience. La condamnation oblige ainsi l'assureur à payer à l'assuré les sommes de 2 442,76 Euros au titre du dommage matériel, de 133 Euros d'immobilisation du véhicule, de 800 euros au titre de la résistance abusive, de 1 206,12Euros au titre de l'article 700 et aux dépens qui comprendront les frais d'expertise. Soit un total d'environ 4 500 euros.
Encore toutes nos félicitations au réparateur, à l'expert indépendant Monsieur Christophe CIESLEWICZ, et Maitre Stéphanie DUMEZ de la SELARL S.D.A de Phalempin, porteurs des dossiers devant les tribunaux, pour faire reconnaitre le recours direct.
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L'UE veut s'assurer que les technologies vertes soient made in Europe
En réponse aux subventions américaines qui, selon l'Union européenne, attirent en Amérique du Nord les entreprises européennes productrices de technologies propres, l'UE a rédigé deux projets de loi, l'un sur l'autosuffisance en matières premières (a...
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En réponse aux subventions américaines qui, selon l'Union européenne, attirent en Amérique du Nord les entreprises européennes productrices de technologies propres, l'UE a rédigé deux projets de loi, l'un sur l'autosuffisance en matières premières (afin de sécuriser l'approvisionnement en métaux nécessaires à la construction de batteries, d'éoliennes et d'autres technologies vertes), l'autre sur l'autosuffisance en technologies nécessaires à la transition de l'Europe vers le « zéro émission ».
L'Europe a donc pour objectif de s'approvisionner de manière responsable en matières premières sur son propre territoire, ce qui lui éviterait de dépendre de l'Asie. D'ici 2030, l'UE devrait être en mesure d'obtenir sur son sol au moins 40 % des métaux stratégiques nécessaires, en raffinant notamment elle-même plus de la moitié du lithium dont elle a besoin (à condition de préserver l'environnement) et en recyclant 15 % des métaux issus des déchets des usines de batteries et des produits en fin de vie.
Ces mesures nécessitent bien sûr que l'Europe mette la main à la poche, avec un plan européen global de financement du climat. T&E, qui fait du lobbying en faveur du tout-électrique, est à fond pour cette stratégie qui se traduirait selon cette organisation européenne par l'envoi d'un signal clair : l'avenir de l'industrie automobile européenne est électrique. - MF
La multinationale française Imerys a annoncé le lancement du projet d'extraction de lithium dans l'actuelle carrière du site de Beauvoir à Echassières (Allier).
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La multinationale française Imerys a annoncé le lancement du projet d'extraction de lithium dans l'actuelle carrière du site de Beauvoir à Echassières (Allier).
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Moteur thermique et/ou énergies alternatives : la Csiam demande plus de clarté à l'UE
Fin de la commercialisation des véhicules à moteur thermique en 2035, développement des carburants alternatifs, électrification du parc, projet de norme Euro 7 : face à ces enjeux majeurs, les constructeurs de véhicules particuliers, industriels, bus...
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Fin de la commercialisation des véhicules à moteur thermique en 2035, développement des carburants alternatifs, électrification du parc, projet de norme Euro 7 : face à ces enjeux majeurs, les constructeurs de véhicules particuliers, industriels, bus et cars présents sur le marché français demandent de la clarté de la part du Gouvernement français et de l'Union européenne. Les cinquante constructeurs et leurs quatre-vingts marques représentés en France par la Chambre Syndicale Internationale de l'Automobile et du Motocycle (Csiam) souhaitent notamment :
- le maintien en l'état du compromis obtenu pour 2035, en laissant aux constructeurs le choix des énergies alternatives neutres en carbone,
- l'électrification du parc,
- un accompagnement à travers des dispositions fiscales ou des subventions non discriminatoires pour accompagner la transition du parc des véhicules vers des énergies plus vertueuses au plan environnemental.
La Csiam précise : « En application de l'accord de Paris sur le climat, la décarbonation du secteur du transport est une priorité de l'Union européenne et de la France. Des objectifs très ambitieux en matière climatique ont été fixés, dans la perspective d'atteindre la neutralité carbone en 2050. C'est pour le secteur des transports un enjeu stratégique qui nécessite ambition et clarté. Au cours de la présidence française du conseil de l'Union européenne, un accord a été négocié, puis conclu sous la présidence tchèque au mois d'octobre 2022 pour mettre fin à la vente de véhicules neufs à moteur thermique en 2035. Depuis, certains Etats membres contestent cette décision. Pour réussir le défi de la décarbonation, les constructeurs de véhicules automobiles, industriels, bus et cars se sont clairement engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre en investissant dans les technologies les plus appropriées, en cohérence avec les ambitions et les décisions de l'Union européenne. Ils ont réalisé et programmé des investissements considérables. Or la Commission européenne a décidé de rouvrir le dossier de l'après-2035. Dans ce contexte, la chambre syndicale souhaite que la Commission intègre dans sa stratégie toutes les technologies neutres en carbone pour les véhicules neufs commercialisés après 2035. Les constructeurs réaffirment qu'il leur appartient de choisir les technologies qu'ils souhaitent, dans la mesure où elles permettent d'atteindre les objectifs environnementaux fixés. Les constructeurs adhérents de la Csiam souhaitent donc une clarification de la stratégie de l'Union européenne. Le choix stratégique de l'électrification du parc doit être accompagné en France de mesures fiscales et de subventions suffisantes pour réduire le surcoût à l'achat des véhicules électriques, voitures particulières ou véhicules industriels et du déploiement d'infrastructures de recharge à la hauteur des besoins sur l'ensemble du territoire. De manière incompréhensible, la Commission a décidé d'introduire une norme Euro 7, obligeant les constructeurs à réinvestir dans des technologies du moteur thermique, au détriment des investissements pour les énergies neutres en carbone, mettant ainsi en péril l'ensemble de la stratégie européenne. L'Union européenne ayant fait le choix de l'électrification, la Csiam estime qu'il n'y a pas lieu d'introduire une nouvelle norme, d'éventuelles adaptations des normes Euro Vi/6 étant suffisantes ».
Moteur Mercedes OM 471 de 12,8 l développant 510 ch équipant le double étage S 531 DT. Par quoi sera-t-il remplacé ? (photo Gilbert)
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Moteur Mercedes OM 471 de 12,8 l développant 510 ch équipant le double étage S 531 DT. Par quoi sera-t-il remplacé ? (photo Gilbert)
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